Le Huitième Sortilège

Titre original : The Light Fantastic
Saga : Les Annales du Disque-monde
Rang dans la saga : N° 2
Editeur : L'Atalante
Date de parution : dimanche 19 septembre 1993
Genre : Light fantasy
Note de la rédaction :

4° de couverture

« Vous auriez de très jolis pieds si vous en preniez soin, dit la vierge Bethan. » Ch'est bien aimable à toi, répondit Cohen le Barbare. Mais des pédicures j'en rencontre pas chouvent dans ma profechion. » Octogénaire, borgne, chauve, édenté, Cohen, le plus grand héros de tous les temps, réussira-t-il à tirer Deuxfleurs et Rincevent des griffes de leurs poursuivants ? Car une étoile rouge menace de percuter le Disque-monde, dont la survie repose sur le sorcier calamiteux : dans son esprit brumeux se tapit le Huitième Sortilège. Avec une distribution prestigieuse dans les seconds rôles : le Bagage, l'In-Octavo, Herrena la Harpie, Kwartz le troll, Trymon l'enchanteur maléfique et, naturellement, la Mort. Une aventure fantastique sans précédent. Ou peut-être une gigantesque fumisterie, plus encore que La Huitième Couleur.

Notre avis

L'avis de Siana :

Le Huitième Sortilège reprend le cours des aventures de Rincevent et Deuxfleurs où se terminait La Huitième Couleur.
Cette suite semble d’emblée un peu plus construite, il faut bien l’admettre et elle est plus drôle encore, pleine d’action et de rebondissements. Une nouvelle fois, prenez tout ce que vous savez des clichés de la Fantasy et réjouissez-vous de les voir passés au shaker ! Par exemple, vous vous demandez ce que deviennent les vieux héros ? Eh bien vous le saurez en faisant la connaissance de Cohen le barbare… Vous apprendrez des choses sur les mœurs des tortues spatiales, vous vous interrogerez sur la réelle nature des boutiques magiques itinérantes et sur l’intérêt qu’il peut y avoir à sauver le monde quand on a cinq minutes entre deux courses-poursuites.
Ce volume offre une échappée particulièrement plaisante, une aventure pleine de personnages improbables et délirants. On ne s’ennuie pas une seconde, même à la relecture, et c’est également une belle histoire d’amitié.
Si vous ne connaissez pas encore le Disque-monde, j’espère de tout cœur vous avoir donné envie d’aller y faire un tour. Et n’oubliez pas d’emporter une boîte à images, ça peut servir.

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