Nouveau monde

Saga : Les Héritiers d'Enkidiev
Rang dans la saga : N° 2
Editeur : Michel Lafon
Date de parution : dimanche 6 novembre 2011
Public : 15 ans et plus
Genre : Fantasy
Note de la rédaction :

4° de couverture

Les Chevaliers d'Emeraude ont vaincu l'Empereur Noir et ses guerriers insectes. Quinze ans plus tard, les héritiers d'Enkidiev partent à la conquête des Territoires Inconnus. Mais que trouveront-ils au-delà des montagnes volcaniques ? En quête de la fleur magique pourrait sauver Onyx, Hadrian d'Argent et ses treize compagnons partent à la découverte du nouveau monde. Au-delà des volcans, ils croisent des créatures étranges et merveilleuses comme le Falwé, mi-homme mi-fauve, qui hante les forêts d'Enlikisar. Mais pour accomplir leur mission, ils devront affronter des civilisations sanguinaires, et seront contraints d'abandonner un précieux membre de leur expédition. De son côté, le Roi d'Emeraude, en recherchant dans le passé l'origine de ses pouvoirs, réveille un terrible conflit entre les trois principaux panthéons. Saura-t-il protéger son peuple des dangereuses manigances des dieux jaloux ?

Notre avis

Avis de Chani

 

L’histoire reprend où s’était achevé Renaissance. Pour sauver Onyx, les chevaliers montent une expédition pour trouver la fleur bleue qui pourra le guérir. C’est bien évidemment Hadrian qui en prend la tête et ses talents de diplomate seront grandement mis à contribution.

 

Il y a du bon et du moins bon dans cet opus, bien que je sois une grande fan des Chevaliers d’Émeraude.

Après les hommes insectes, Anne Robillard nous sert les hommes poissons, les hommes fauves, un peuple qui s’adonne aux sacrifices humains faisant fortement penser aux aztèques avec leurs pyramides, et on se demande un peu où elle veut en venir. À force de nous servir de nouveaux peuples et de nouvelles contrées, on perd un peu en intensité quant à l’intrigue elle-même.

Heureusement, son style est toujours aussi agréable, et l’on ne se lasse pas de suivre les aventures et tourments personnels de nos héros. Onyx mérite toujours des claques, Hadrian est toujours un symbole de dévouement et de probité, le jeune Wellan prend davantage de place, et il faut bien dire que l’œuvre tient beaucoup au charisme de ses personnages principaux.

Après, sur l’introduction des nouveaux dieux, je suis moins convaincue, bien que ce thème soit toujours très présent dans l’univers de l’auteur. En revanche, leur interaction avec le passé et l’origine d’Onyx relance l’intérêt, et au final le lecteur n’a qu’une envie, celle de connaître la suite… J’espère juste que la suite sera davantage dans l’esprit de la série d’origine.

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