Le Fléau des morts
4° de couverture
Tout commença avec un virus d'une violence inouïe : le virus Morningstar. Les sujets succombent en quelques heures. Le taux de mortalité est de l00 %. Lorsqu'une opération militaire échoue a contenir l'infection, elle devient une pandémie mondiale. Mais ce n'est qu'un début car, rapidement, les victimes se transforment en zombies. Désormais une seule loi domine le monde : vivre ou mourir, tuer ou être tué.
Notre avis
L'avis de Chani
Un virus apparaît en Afrique, et très vite c’est l’épidémie. Si un retour du cannibalisme en en premier lieu envisagé à la vue des traces de morsures sur les victimes, très vite la piste des morts-vivants fait surface, grâce à la pugnacité d’une scientifique, Anna Demilio. Mais le virus Mornigstar n’engendre pas des zombies classiques. En premier lieu, les porteurs infectés sont toujours vivants, rapides et hargneux, prompts à planter leurs dents dans la chair de leurs semblables pour faire de nouvelles victimes. Si toutefois ils viennent à être abattus, ils se relèvent, et deviennent les zombies lents et titubants que notre imaginaire connaît bien.
Militaires dépassés, scientifiques muselés, population désinformée, services secrets prêts à tout (et même au pire) pour étouffer l’affaire, mais aussi scènes de panique parmi les civils causant davantage de morts que le virus lui-même, on retrouve les ingrédients de tout bon zombie-book.
Malgré tout, l’ensemble manque d’originalité, les personnages ne m’ont pas accrochée, et je suis un peu restée en dehors de l’histoire tout du long. Non que ce livre soit mauvais, loin de là. C’est juste que j’en ai lu de bien meilleurs…