The Revolution of Ivy

Auteur : Amy Engel
Saga : The Book of Ivy
Rang dans la saga : N° 2
Editeur : Lumen
Date de parution : mercredi 4 novembre 2015
Public : 15 ans et plus
Genre : Dystopie
Note de la rédaction :

4° de couverture

Condamnée à l'exil pour ses crimes, Ivy se retrouve seule au-delà de la barrière qui protège les siens d'un monde hostile, dévasté par l'arme atomique des décennies plus tôt. Trahie par sa famille, abandonnée par Bishop, elle doit quitter Westfall et s'enfonce dans la nature sauvage et découvre qu'elle est habitée. Cette année, mon tour est venu. Mais la ville où elle est née se tord dans les convulsions d'un coup d'État, et le chaos ne tarde pas à régner. C'est un Bishop différent qui débarque dans le camp où Ivy s'est réfugiée, un Bishop qui a découvert, entretemps, plus d'une vérité. Il est temps pour la jeune fille de décider ce qu'elle compte faire : se venger ou... faire la révolution ?

Notre avis

L'avis de Chani

 

Après un premier tome coup de cœur, j’attendais avec impatience cette suite et fin de la série d’Amy Engel, mais aussi avec pas mal d’appréhension. Je me suis donc ruée dessus dès sa sortie et, au final, je ne suis pas déçue.

Ivy a donc été bannie de Westfall et la voilà obligée de survivre, seule, au-delà de la barrière, dans un environnement hostile. La nature n’est pas son alliée, la faim et la soif la guettent, mais ce sont sûrement les autres habitants exilés qui vont s’avérer les plus dangereux…

Ce second tome est très différent du premier, que ce soit au niveau du cadre dans lequel il se déroule que concernant ses enjeux. Le premier faisait la part belle à la naissance du couple Ivy / Bishop, avec les incertitudes de la jeune fille, victime de sa propre famille. Ici, Ivy n’a plus le temps d’être une victime, elle doit reprendre sa vie en main pour survivre. Si elle a perdu son confort, elle a gagné sa liberté et entend bien devenir celle qu’elle a toujours rêvé d’être. Le roman ne serait pas complet sans Bishop, dont on va suivre l’évolution aussi. Patient et doux, le jeune homme reste, lui, égal à celui qu’il était dans la première partie, sans doute car lui était déjà libre à sa façon, malgré les contraintes de son sang.

La fin du roman est un peu trop facile, on s’y attend et je n’ai pas été convaincue, j’aurais aimé quelque chose de différent. Sur ce point, l’auteur a fait du consensuel plein de bons sentiments et c’est une petite déception, même si, au final, j’ai beaucoup aimé ce diptyque qui fait montre, malgré tout, de pas mal d’originalité.

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