Fournaise

Titre original : Terminus
Auteur : Adam Baker
Saga : Le dernier bastion
Rang dans la saga : N° 2
Editeur : Panini Books
Date de parution : mercredi 14 janvier 2015
Public : 15 ans et plus
Genre : Horreur
Note de la rédaction :

4° de couverture

Ils cherchaient de l'or, ils ont trouvé la mort. Iraq, 2005. Le voyage à travers le désert de sept hommes à la recherche de l'or de Saddam. Ils forment un groupe improbable de mercenaires estropiés, tueurs et voleurs, vétérans d'une douzaine de guerres différentes. Chacun d'eux n'a qu'une envie : marquer un dernier point avant que la chance ne les abandonne. Ils se retrouvent bientôt abandonnés dans d'anciennes ruines, pris dans une lutte désespérée pour sauver leur vie, affrontant cupidité, trahison, et une armée qui ne restera pas morte.

 

Notre avis

L'avis de Chani

Les évènements de ce deuxième tome se déroulent avant ceux décrits dans Rempart. Le lecteur revient ainsi aux origines de la contamination et va découvrir comment tout a dérapé.

Pour ce faire, exit l’Arctique, l’action se situe en Irak et met en scène un groupe de mercenaires de seconde zone qui va tenter de se refaire dans un ultime coup : trouver l’or de Saddam Hussein, prétendument perdu quelque part dans le désert. En parallèle, le lecteur pourra lire les rapports afférents au mystérieux programme SPEKTR…

Le début du roman est un peu long, suivre des mercenaires dans le désert irakien n’étant pas ma tasse de thé. Puis, peu à peu, les choses tournent vinaigre, le groupe se retrouve confronté à des cadavres ambulants de soldats. Pourquoi ? Comment ? Je ne veux pas spoiler, vous découvrirez tout ça, mais j’ai trouvé la progression de l’intrigue très intéressante. J'ai plus d’une fois retenu mon souffle (oui, bon, je sais, ce n’est pas moi qui étais sur le terrain) et j’étais tellement impliquée dans l’histoire que j’ai réussi à me faire peur toute seule… L’origine de la contamination est originale et bien pensée, j’ai vraiment été convaincue, d’autant que l’auteur semble réellement s’y connaître (ou alors il fait suffisamment de mousse pour que ce soit convaincant, vu que moi je n’y connais strictement rien). Les zombies sont au centre du récit, mais l’auteur joue sur nos peurs primaires, sans avoir besoin de recourir au gore ni aux descriptions à outrance ou de nous mettre un mort-vivant sous le nez tous les deux paragraphes.

Maintenant, j’ai très envie de savoir où va nous embarquer Adam Baker dans Terminus.

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