Le Temple des transactions douteuses
Auteur : Alex Evans
Saga : Sorcières associées
Editeur : Actusf
Date de parution : mardi 1 octobre 2019
Public : Tout public
Genre : Fantasy
4° de couverture
Dans la Cité Près de la Mer, un port où tout s'achète et se vend, une jeune voleuse à soudain l'occasion de gagner beaucoup d'argent en réalisant une transaction parfaitement légale.
Mais les choses se révèlent plus compliquées qu'elles n'en avaient l'air...
Continuez à arpenter l'univers fantasy d'Alex Evans avec ses romans La Machine de Léandre, Sorcières associées et L’Échiquier de Jade.
Notre avis
L'avis de Siana
Dans la dernière fournée de nouvelles gratuites publiées chez ActuSF, il y avait ce texte d’Alex Evans. Je n’ai même pas lu la présentation, je me suis jetée dessus et j’ai bien fait.
Quel plaisir de retrouver Vif-argent ! La jeune femme, que le lecteur a pu connaître et apprécier dans la nouvelle, elle aussi gratuite, Une Collection d’ennuis est de retour dans ce texte. J’aime beaucoup ce personnage et je déplorais la brièveté de sa précédente aventure ainsi que la fin abrupte de celle-ci.
Le Temple des transactions douteuses n’est malheureusement pas une suite, mais offre néanmoins un très bon moment de lecture. L’action se déroule à une époque antérieure, quand Vif-argent exerçait encore son activité de voleuse. Elle avait déjà un truc avec les livres, puisqu’une nouvelle fois c’est par l’un d’eux que vont lui arriver les ennuis, mais peut-être aussi la fortune, si elle sait se montrer fine.
C’est un texte qui n’a pour but que de distraire un court moment son lecteur et c’est très bien comme ça. Alex Evans sait rendre ses personnages attachants, ce qui fait que l’on s’implique malgré la brièveté du récit. Comme je l’ai déjà fait remarquer, j’aime beaucoup Vif-argent. Je serai toujours ravie de la retrouver.
Ces nouvelles, que nous proposent régulièrement les éditions ActuSF, sont une bonne occasion de découvrir des auteurs et leurs univers ou de prolonger le plaisir de lecture d’un ouvrage que vous avez aimé.