Mois de l'imaginaire : séries terminées à découvrir #3
Ajoutée le vendredi 20 octobre 2017
Dans le cadre du mois de l'imaginaire, l'équipe vous propose de découvrir des séries terminées qui ont marqué ses membres, de petites perles à réserver pour ces moments où l'on a envie de découvrir une histoire du début à la fin sans devoir attendre la sortie du prochain tome.
Cette semaine c'est au tour de Cecily.
Il y a tellement de séries incroyables à lire mais étant une grande fan de fae, de sidhe et autres créatures du même type, je vais plus m’attarder sur ce thème. J’ai adoré la série MacKayla Lane de Karen Marie Moning, ainsi que Cygne Noir de Richelle Mead mais c’est d’une autre série plus récente mais plus méconnue que j’ai choisi de vous parler.
La trilogie Sidhe de Sandy Williams est pour moi un véritable coup de coeur, on plonge dans un univers incroyable, mystérieux. On ne s’ennuie pas, les événements s’enchaînent et nous tiennent en haleine. Il s’y mêle action, scènes de guerre et amour impossible.
L’héroïne, McKenzie Lewis, est différente, elle peut voir les faes mais elle peut également retrouver leur trace lorsqu’ils se téléportent. Les faes faisant l’objet d’une guerre civile, McKenzie collabore depuis ces 15 ans avec leur roi afin de faire cesser la rébellion faisant rage dans le royaume des faes. Dans son combat, elle travaille avec Kyol, le maître d’armes du roi, avec qui elle aimerait vivre son amour au grand jour. Mais les faes et les humains ne doivent pas se mêler… Au cours d’une mission, McKenzie est enlevée par les rebelles. Elle fait alors la connaissance de leur meneur, Aren, qui va lui faire peu à peu changer la vision qu’elle avait de la cour des faes. Finalement, les méchants ne seraient peut être pas ceux qu’elle croit…
Autre série d’Urban Fantasy terminée mais qui je pense vaut le détour, est Georgina Kincaid de Richelle Mead. Il s’agit des déboirs d’une succube, qui devant faire l’amour pour vivre, volant ainsi l’essence vitale de ces victimes, s’interdit toute relation. Mais au fond d’elle, elle aimerait vivre comme les autres, vivant pour aimer et non l’inverse.